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 1x12 - Tout feu, Tout flamme

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Edward John Speleers
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Edward John Speleers


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MessageSujet: 1x12 - Tout feu, Tout flamme   1x12 - Tout feu, Tout flamme EmptySam 27 Mar - 22:35

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Titre original : Fahrenheit 932
Scénariste : Jacqueline Zambrano
Réalisateur : Danny Cannon

Diffusions :
États-Unis : 1er février 2001
France : 23 décembre 2001, 07 décembre 2008 (TF1)

Invités : Frederick Koehler (Danny Hillman), Jarrad Paul (Tony), Marc Vann (Conrad Eckley), Sterling Macer Jr (Frank Damon), Tamara Clatterbuck (Sandra Hillman), Chaka Forman

Pré Générique

Prison du comté de Las Vegas, un détenu expédie un colis anonyme contenant une K7 vidéo à destination de Grissom, qui la réceptionne et la visionne en compagnie de Brass. Cette K7 contient une intervention vidéo d’un certain Frank Damon, jugé pour le meurtre de sa femme et son fils qui auraient péri dans un incendie criminel. Durant son intervention, Damon nie les faits alors que toutes les preuves sont contre lui et demande à Grissom, son ultime recours, de prouver son innocence.

Générique

Grissom, alors en train de consulter un dossier, est rejoint au labo par Catherine, Nick et Sara. Il leur attribue alors leurs différentes enquêtes. Catherine et Nick seront chargés d’élucider le meurtre d’un courtier, un homme de race blanche, retrouvé mort dans sa voiture sur le parking de la salle de paris sportifs du Monaco. Grissom demande à Sara et Warrick de l’aider sur l’affaire Damon (incendie criminel) dont le procès commencera dans trois jours. Il leur informe que l’enquête a été préalablement menée par l’équipe de jour de la police scientifique dirigée par Ekley. Sara et Warrick se demandent alors si il est possible de reprendre une enquête officiellement close.

Sur le parking du département de Police, Brass fait par des éléments de l’enquête à Grissom. Des témoins auraient vu Damon fuir la maison en flammes, laissant alors sa femme et son fils à l’intérieur. Il lui indique également que la femme du suspect était très dépensière et que le couple avait acheté cette maison. Ils se seraient disputés à propos de questions d’argent et le suspect aurait provoqué sciemment l’incendie afin de toucher la prime d’assurance. Les preuves attestant de la culpabilité du suspect sont d’ailleurs accablantes : les techniciens ont relevé des traces d’essence dans le dressing, alors point d’origine de l’incendie, et l’étude approfondie des relevés de Carte Bancaire du suspect indique que ce dernier a acheté du carburant une semaine avant la déclaration de l’incendie.

Catherine et Nick se rendent sur le lieu de l’homicide dont ils sont chargés. Le Sergent O’Riley les attend d’ailleurs sur place. Ils établissent alors leurs premières constatations : la victime a été tuée d’un coup de feu tiré à bout portant par son meurtrier qui l’attendait alors à l’arrière du véhicule. La victime est très jeune. Catherine constate, en fouillant le portefeuille de la victime, que ce dernier a été entièrement vidé. Ils remarquent également que la victime portait une prothèse auditive. Nick, en fouillant l’arrière de la voiture, relève des traces de condensation sur une des vitres et procède donc à des prélèvements. Catherine découvre par hasard une liasse de billet d’une valeur de 15.000 $ dans un sachet en papier. Cette liasse est accompagnée d’un ticket comportant l’indication : « Giants – 9 », ce qui signifie que le courtier a misé la somme de 30.000 $ à 9 contre 1 sur les Giants pour le Superbowl. Ils découvrent aussi que ce ticket a été délivré par le guichet 12 de la salle de paris sportifs du Monaco. Après avoir interrogé le guichetier à l’origine de la transaction, l’identité de la victime ne fait plus aucun doute, il s’agit du coursier numéro 517 chargé de prendre des paris pour un patron avec lequel il communique via une oreillette. Quant à leur interlocuteur, il leur indique qu’il compte quitter son emploi à la fin de la semaine.



Grissom se rend à la prison afin d’interroger Damon, le prévenu incendiaire qui lui a demandé de prouver son innocence. Il le rencontre enfin au parloir du centre d’incarcération. La conversation débute. Grissom lui demande pourquoi il a fait appel à ses compétences. Damon lui indique alors que les nombreux spécialistes qu’il a contactés n’ont pas voulu l’aider et que ces derniers l’ont alors dirigé vers lui. Au cours de la conversation, Grissom observe attentivement son interlocuteur, ce qui lui permet de se faire une idée précise de son niveau d’instruction.
Damon lui relate alors les faits de la nuit de l’incendie. Il était minuit, Jane, sa femme a soudainement eu une fringale alors il est sorti de la maison afin d’acheter de quoi la satisfaire. Leur fils Tobby, âgé de huit ans, s’était glissé dans leur lit puisqu’il n’arrivait pas à trouver le sommeil, sans doute excité par l’idée d’aller faire du camping le lendemain. Vingt minutes après, lorsqu’il revint chez lui, il vit de la fumée et entra précipitamment dans sa maison afin de sauver sa famille. La maison était enfumée. Il se dirigea alors vers la chambre où se trouvaient sa femme et son fils mais hésita à ouvrir la porte car il savait très bien qu’il y avait un risque de flash-over (une température de 500°C couplée à un ajout soudain d’oxygène transforme la fumée en flamme). Il constata que la porte était brûlante, il ne pouvait donc pas l’ouvrir à cause des risques de flash-over car en tant pompier volontaire aspirant à se professionnaliser, il connaissait le feu et ses dangers. Il décida alors de sortir de la maison afin d’appeler du secours.
Grissom évoque alors la présence d’un accélérant dans la mesure où les enquêteurs ont découvert des traces d’hydrocarbure sur le sol du dressing de la chambre à coucher. De même que l’étude des relevés de carte bancaire a révélé que Damon s’était procuré de l’essence, celui affirme alors qu’il avait acheté ce carburant pour sa tondeuse à gazon qui se trouve dans son garage. Damon remet en cause ces preuves, rendant alors Grissom plus que sceptique sur ses véritables agissements au cours de cette nuit tragique. En voyant des traces de brûlures sur les mains de Damon, Grissom est alors convaincu qu’il ne lui dit pas toute la vérité.

Warrick, Grissom et Sara se rendent alors au domicile de Damon afin d’inspecter les lieux à la recherche d’éventuels nouveaux éléments qui pourraient relancer l’enquête officiellement bouclée par Ekley. Warrick prend une série de clichés. Ils constatent alors que ce qui n’a pas été détruit par le feu l’a été par les pompiers, ce qui annonce certaines difficultés pour nos Experts. Sara remarque que Tobby, le fils de Damon, se préparait activement pour aller camper, dans son sac elle découvre un boîtier étanche pour allumettes. Ce qui amène Warrick a suspecté une éventuelle malveillance de l’enfant.
Une fois arrivé au niveau de la chambre où s’est déclaré l’incendie, ils émettent des constatations. Le feu n’a pas été uniquement contenu dans la chambre puisque le côté extérieur du chambrant de la porte est également carbonisé. Le feu se propage uniquement là il peut se nourrir en oxygène et combustible. Ils décident alors de prélever un échantillon de cet élément. Ils remarquent également que le bois a brûlé à cet endroit alors que la porte ne comporte pas de traces de combustion. Ils relèvent aussi des traces de caoutchouc sur la poignée de la porte qui pourraient provenir d’un gant de pompier.
Le rapport d’Ekley indique que le feu a débuté dans le dressing qui a alors été ravagé par les flammes. Ils y remarquent aussi des traces en forme de V sur le mur indiquant que la flamme s’est élevée rapidement tout en tentant de trouver une issue, ce qui permet de retracer son parcours. La base de la trace en forme de V est étroite (le point d’embrasement), ce qui indique que le départ du feu a été particulièrement rapide et violent, ce qui atteste de la présence d’un accélérateur à cet endroit. Conclusion, Damon aurait aspergé de l’essence sur le sol du dressing, y aurait mit le feu à l’aide d’une allumette et se serait enfuit.
Sara remarque la présence de bouts de verre complètement fondus soudés au sol. Le changement de couleur du sol indique également qu’il y a eu une grosse chaleur au moment de l’inflammation. Ils se demandent alors pourquoi il y a des bouts de verre soudés au niveau du foyer de l’incendie. Aussi, Grissom se demande pourquoi il n’y a pas de traces de traînées qui auraient du être laissées par de l’essence aspergée alors censée augmenter la surface de propagation du feu. Warrick et Sara semblent convaincus de la culpabilité de Damon, à la lumière de ce qu’ils viennent de découvrir, or ils sont aussitôt rappelés à l’ordre par Gil qui leur reproche alors leur rationalisme.

A la morgue, Catherine demande à Madame Hillman d’identifier son fils retrouvé mort sur le parking du Monaco. Visiblement choquée, elle l’authentifie… Ensuite, une fois dans le couloir, Catherine pose les questions d’usage à la mère de la victime et lui demande si son fils était malentendant, à cause de la prothèse auditive qu’elle a découverte. Mme Hillman lui indique alors que son fils, alors influencé par Dany son frère adepte des combines en tout genre, était coursier et qu’il utilisait une oreillette afin de converser avec son patron qui lui donnait alors des ordres sur les paris à effectuer. Catherine et Nick veulent alors interroger Dany, qui a mystérieusement disparu…

Pendant ce temps, Ekley rend une petite visite de courtoisie à Grissom afin de se renseigner sur l’avancée de l’enquête ; visiblement échaudé, il l’interpelle aux sujets des preuves accablantes qu’il a mises en lumière. Pour lui, il s’agit bien d’un incendie criminel, corroboré par deux preuves indéniables : le reçu de carte bancaire signalant l’achat d’un bidon d’essence une semaine avant l’incendie et les traces d’hydrocarbure sur le sol du dressing. Grissom reprend ses arguments en mettant en exergue l’absence de traînées inhérente à la présence d’un élément incendiaire. Ekley répond à Grissom en lui rappelant que le suspect est un pompier volontaire sachant très bien comment déclencher un incendie sans laisser de traces.

Dans le vestiaire, Catherine et Nick interrogent Warrick sur la profession de coursier, qu’il a pratiquée lorsqu’il était à la fac. Il conseille à Nick d’aller chercher le coupable du coté des collègues coursiers de la victime et non pas du côté des commanditaires. A ce moment là, le bipper de Warrick sonne, lui indiquant alors que Grissom souhaite le voir au plus vite.

Au laboratoire, Grissom reproduit les circonstances de l’incendie en utilisant les mêmes conditions que dans la chambre de Damon. Il prend trois gouttes d’essence, un apport d’oxygène limité et il chauffe le tout à 500°C, la température d’auto embrasement. Résultat, la fumée s’enflamme donc il s’agit d’un flash-over. Ce qui vérifie la première partie de la version de Damon. Quant au chambrant de la porte, il contient des boursouflures dus à la carbonisation attestant d’un certain degré de combustion. D’après la profondeur des sillons dits en peau de crocodile, ils en déduisent que le bois a brûlé rapidement et à haute température. Cependant, il n’y aucune trace d’accélérateur, or le morceau de chambrant était situé à l’extérieur alors que le feu était contenu à l’intérieur de la chambre d’où la mise sur pied d’un second scénario : Damon aurait ouvert la porte ce qui ramènerait à dire qu’il ment. Grissom cherche alors la vérité derrière le mensonge.

Il se rend de nouveau à la prison du comté afin d’obtenir des informations supplémentaires de la part de Damon. Avant de lui parler, il croise sa sœur dans le couloir.
Grissom évoque le chambrant de la porte qui a brûlé. Si la porte n’avait pas été ouverte, il n’aurait pas brûlé, ce qui indique que Damon a menti sur son attitude au moment de l’incendie. Grissom demande alors à Damon de lui montrer la paume de ses mains, il y remarque d’ailleurs les traces laissées par la poignée brûlante de la porte. Au pied du mur, Damon décide de lui dire la vérité. Le soir de l’incendie, il n’a pas agi en soldat du feu, mais plutôt en être humain au point d’oublier tout ce qu’il avait appris sur les incendies. Voulant sauver à tout prix sa famille des flammes, il a ouvert la porte et la fumée s’est embrasée mais l’a aussitôt refermée afin que le feu ne se propage pas à l’ensemble de la demeure. Il pense alors être responsable de la mort de sa famille, honteux de ne pas avoir pu les sauver. Grissom le rassure en affirmant qu’il n’aurait rien pu faire de plus, l’oxyde de carbone les ayant déjà condamnés.

Dans la salle des paris du Monaco, Catherine et Sara interrogent à nouveau le guichetier, qui ne se gène pas pour leur montrer un coursier en plein travail. Ils parlent même avec l’un d’entre eux.

Dans la maison des Damon, Warrick alors en pleine inspection, est surpris par Grissom, également soucieux de trouver de nouveaux éléments dans le but de faire avancer l’enquête. En fouillant les débris du déblai laissé par les pompiers, ils découvrent sous un matelas l’épave d’un radiateur à air pulsé de marque Janko Electric, modèle 220, complètement grillé. Appareil capable de chauffer une grande surface, il se trouvait dans la chambre et les pompiers l’ont déposé dans le déblai pendant leur intervention. Ils pensent alors que le radiateur, situé dans le dressing, aurait grillé suite à une défaillance électrique, provoquant alors l’incendie, il ne leur reste plus qu’à prouver leurs dires.

Pendant ce temps, au laboratoire, Catherine et Nick reçoivent les résultats des analyses du prélèvement effectué sur la vitre arrière du véhicule de la victime. Il s’agit de mucus nasal venant des projections d’un éternuement. Grâce à l’analyse de ce mucus, il est possible de dresser le profil ADN du meurtrier.
Un des techniciens signale à Catherine que deux personnes souhaitent lui parler. Elle se rend donc à l’accueil pour les rejoindre. Elle découvre qu’il s’agit de Mme Hillman, alors accompagnée par son fils Dany.
Catherine procède alors à son interrogatoire. Dany lui apprend qu’il a joué une grosse somme d’argent destiné à un pari, pour son compte au black-jack, argent qu’il a malheureusement perdu. Il a donc doublé sa mise et a finalement perdu 3.000 $. Il a pris peur et s’est enfuit en oubliant totalement de protéger son frère. Catherine lui demande alors qui aurait pu attenter à la vie de son frère, ce dont à quoi il répond que cela pourrait très bien être un autre coursier, tant la concurrence existant entre eux semble féroce. Sa mère lui défend de donner les noms des autres coursiers, les experts ne se contenteront alors que de la fréquence d’émission de l’oreillette.

Toujours au laboratoire, Ekley rend de nouveau visite à Grissom, alors en train d’analyser des fils électriques de la prise du dressing. Ekley déclare n’avoir repéré aucun radiateur grillé dans le salon, Grissom lui indique alors qu’il se trouvait en fait dans le dressing où se situait la prise la plus proche du lit. Il prouve aussi que les fils électriques ont brûlé de l’intérieur, ce qui atteste que le feu a débuté dans le mur, et non pas sur le sol du dressing comme l’a initialement constaté Ekley.
La décoloration des fils de bout en bout indique que le fil s’est consumé de l’intérieur. L’incendie est donc du à une surcharge électrique dont l’étincelle a mis le feu à la substance inflammable. L’analyse de l’accélérateur trouvé sur le sol du dressing indique qu’il s’agit d’un hydrocarbure, c'est-à-dire de l’essence. Grissom et Ekley confrontent donc leurs points de vue, pour le premier le feu s’est déclaré dans le mur, pour le second, il a débuté sur le sol du dressing ; Ekley, qui bénéficie du soutien affiché du procureur, affirme également que le jury ne retiendra que le terme Essence au cours des débats et que la théorie de Grissom risque de tomber aux oubliettes. Une seule question reste à élucider : Comment expliquer les traces d’essence sur le sol de la penderie ?
Grissom se rend donc à la prison pour interroger Damon à ce sujet, ce dernier ne lui fournit alors pas d’explications tangibles.

Pendant ce temps, Catherine et Warrick ont convoqué l’ensemble des coursiers pour procéder à des tests comparatifs. Ils prélèvent donc du mucus nasal sur chacun d’entre eux afin de le comparer à l’échantillon dont ils disposent. Les résultats de ces tests ne sont guère probants, les coursiers sont ainsi mis hors de cause.

Grissom et Sara s’interrogent pour leur part sur les circonstances de l’incendie. Grissom étant à court d’arguments, Sara lui fait part de sa théorie. Selon elle, les morceaux de verre fondus incrustés sur le sol indiquent que la température à cet endroit était de 500°C. Or avec la température et l’eau projetée par les pompiers sur les flammes il ne devrait pratiquement rien rester de cet accélérateur. Donc les conclusions d’Ekley au sujet de la présence d’essence n’étaient basées sur aucune preuve matérielle autre que les reçus de Damon. Or les traces de propagation indique la présence d’un accélérateur, en outre Sara et Warrick indique qu’on trouve des traces d’hydrocarbure partout et que n’importe lequel d’entre eux peut devenir un accélérant. Ils décident alors d’inspecter à nouveau la demeure des Damon, une fois arrivés sur place, ils constatent qu’une équipe est en train de nettoyer la maison.

Furieux, Grissom rejoint Ekley dans son bureau et lui reproche sa décision, alors que de nouvelles preuves favorables à Damon ont été découvertes. Grissom s’énerve et refuse violemment le café proposé par Ekley, la cafetière alors projetée contre le mur se brise…en plusieurs morceaux. C’est à ce moment là que Grissom a une idée lumineuse.

Il se rend alors à la prison pour interroger Damon, sur le chemin du parloir il croise d’ailleurs sa sœur à qui il pose quelques questions, celle-ci visiblement gênée préfère éluder la conversation… Une fois au parloir, Grissom demande à Damon de lui raconter ce qui s’est réellement passé ce soir là. Il affirme alors qu’il voulait quitter Jane pour sa maîtresse. Furieuse, elle lui a lancé divers objets, parmi eux il y avait une lampe à pétrole. Cette dernière s’est alors brisée au moment de son impact sur le sol du dressing, aspergeant ainsi le sol d’une substance inflammable. Plus tard, une surcharge électrique du radiateur a produit une étincelle qui a alors mis le feu à la nappe de pétrole située sur le sol du dressing, alors à l’origine de l’incendie.

Nick se rend à la salle de paris afin de régler une affaire. Il tombe alors sur le guichetier qu’il a précédemment interrogé. Au moment de partir, ce dernier éternue, ce qui intrigue Nick, qui voit en lui le suspect idéal du meurtre sur lequel il enquête (à cause du mucus nasal qui indique que le suspect a un rhume). Les Experts procèdent alors à son interpellation.

Grissom attend Damon, qui est enfin libéré après avoir été disculpé à la lumière des preuves récemment découvertes. Il lui demande si il peut le déposer quelque part. A ce moment précis, sa sœur Rachel arrive… Et Grissom finit par découvrir qu’il s’agissait en fait de sa maîtresse…
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